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 ROMEO&SIOFRA ♦ L'amitié double les joies et réduit de moitié les peines ♦

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MessageSujet: ROMEO&SIOFRA ♦ L'amitié double les joies et réduit de moitié les peines ♦   ROMEO&SIOFRA ♦ L'amitié double les joies et réduit de moitié les peines ♦ EmptyMar 30 Aoû - 17:11




ROMEO & SIOFRA



Un rayon du soleil traversant la fenêtre. Un yeux qui s'ouvre, un deuxième, que je finit par poser sur le réveil qui affiché six heures trente. Je me levais – seule – comme souvent c'est temps-ci. J'allais voir si mon petit ange dormais toujours, j'entrouvris sa porte et je l'a regardée, là endormis perdue dans ses rêves, elle était si belle. Un sourire éclaira mes lèvres. Je restais bien cinq minutes, je finis par poser une main sur mon ventre. Un autre enfant arriverais dans quelques mois. Et je me demandais dans quel atmosphère cet enfant allé être élevé. Si d'ici sa naissance, tout irait mieux entre son papa et moi. Et puis Lily-Rose, notre fille, j'essayais au mieux de la protéger de nos disputes, des bêtises de son père mais elle n'était pas cupide, elle comprenait les choses et j'étais sûr que même si elle disait rien, elle voyait que rien n'allait. Je quittais la chambre pour rejoindre la cuisine où Caleb se trouvait. Sa tête se tourna vers moi et j'eus peur en le voyant. Il avait une de ses têtes. Il me tendit une tasse de café que je pris. Tout ça dans un silence pas très très agréable. Il finit par dire « Tu dormais quand je suis rentré ! J'ai dormi sur le canapé ! Je ne voulais pas te réveiller ! ». Je posais mon regard sur lui. Maintenant il s'inquiétait de me réveiller quand il rentrais. Je roulais des yeux et soupirais et je répondis « Pour ta gouverne tu m'as réveillée ! Je t'ai entendue rentrer ! Tard une fois de plus ! Caleb qu'est-ce que tu as fait encore cette nuit pour rentrer si tard ». Je m'assis sur le tabouret du comptoir. Il me foudroya du regard et me répondit mauvais « Ce que je fais ne te regarde pas ! Désolé de t'avoir réveillé ! ». Je bus une gorgée de mon café, comme pour faire passé la pilule, de ce qu'il venait de me dire et je répliquais d'un ton neutre « Au dernier nouvelle Caleb je suis toujours TA femme ! Donc ce que tu fais me re … ». Je ne finis pas ma phrase car Lily-Rose était là. Elle se précipita dans mes bras quand je l'es ouvrit. Elle me dit « Tu te disputais avec papa ? ». Je lui caressais les cheveux et lui dit non. Je lui préparais son bol de céréale. Et l'emmenais chez sa baby-sitter. Puis je filais au travail auquel je retrouvais ma meilleure amie. A midi je terminais mon service.

Je récupérais ma fille et je l'emmenais mangée un petit quelque chose au restaurant. Puis on rentrait à la maison. Je regardais un peu la télévision et jouais un peu avec elle. Avant de l'emmener en bas dans le jardin. Pendant qu'elle s'amusait avec ses poupée sur l'herbe. J'en profitais pour me détendre un peu et assise sur une chaise avec un bon livre en main. Néanmoins je jetais de régulier coup d'œil à ma fille pour vérifier qu'elle était toujours là. Puis me replongeais dans mon livre. Je ne voulais pensée à rien d'autre qu'a ma fille, le futur bébé et moi. Caleb avait changé, il n'étais plus le même et je ne sais même pas ce qui a fait que s'en arrive là. C'est que nous est-il arrivés ? Qu'est-ce qui s'est passé pour que notre couple parte ainsi dans un je ne sais quoi phénoménale ? Je chassais toute ses idées, ses questions de ma tête. Quand je vis une ombre. Je relevais le nez de mon bouquin, qu'a vrai dire n'avais pas beaucoup avancé dans sa lecture. Un sourire éclaire mes lèvres quand je reconnus Roméo. Un très très bon ami à moi. Je l'appréciais. J'appréciais passée du temps ensemble parce qu'on rigolais toujours ensemble. Et c'est donc avec enthousiasme que je dis « Heyy toi !! Tu vas bien ? ». Je me levais et le serrais un instant dans mes bras. Fallait pas m'en vouloir j'étais une maman et j'étais une fille très maternelle et donc affectueuse. C'était ma façon de dire bonjour aux gens que j'appréciais. Je jetais un nouveau coup d'œil à ma fille qui jouais toujours avec ses poupées. Un nouveau sourire illumina mon visage.
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MessageSujet: Re: ROMEO&SIOFRA ♦ L'amitié double les joies et réduit de moitié les peines ♦   ROMEO&SIOFRA ♦ L'amitié double les joies et réduit de moitié les peines ♦ EmptyMar 30 Aoû - 23:03


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La journée avait été plutôt difficile. Un réveil plus ou moins sympathique. Plus ou moins, oui, car un verre d'eau froide sur la tête, versé par Athéna, c'est jamais très agréable. Ensuite, il a fallut se préparer, la tête dans l'cul. Et ça, c'est une chose particulièrement dure, lorsque Romèo ne prend pas de petit déjeuné. Pourquoi n'en-a-t-il pas pris? Manque de temps. Et il a fallu paraître classe et frais, alors qu'il ne voulait qu'une seule et même chose : sauter dans son lit et se rendormir. Il semblerait même que le beau blond se soit malencontreusement endormi dans les dossiers qu'ils devaient traités. Enfin bref, pour résumer, la journée d'Hadès avait été plus qu'épuisante et chiante à mourir. Il rentra à son appartement, retira sa veste noire et alla machinalement se chercher une bière dans le frigo. Le canapé lui sembla bien trop ennuyeux, lui aussi, il décida donc de descendre au jardin. Il resta en chemise blanche, pantalon noir et chaussures italiennes. Peu importe le regard des gens, tout ce qu'il voulait faire, s'était se reposer.

Avant de poser un pied sur l'herbe verte, il observa autour de lui sans vraiment prêter attention à ce qu'il voyait. Hadès commença donc à marcher, assez lentement, vers un coin où ne se trouvait personne. Soudain, il faillit heurter une petite fille qui passa en courant devant lui. Surprit, il observa les alentours et aperçut Siofra. Rien que de la voir, un élan d'énergie monta en lui et un sourire apparut sur ses lèvres. Siofra était une des rares femmes avec qui il n'avait pas envie de coucher, car leur belle amitié était assez importante pour lui. Elle lui remontait toujours le moral et le faisait souvent rire. C'est d'ailleurs grâce à ça qu'ils se sont rencontrés, alors que Romèo venait de se bagarrer avec un idiot qui l'avait bousculé dans la rue sans s'excuser. Oui, tout était bon avec le beau blond pour se servir de ses poings. Ce jour-là, il n'avait donc pas spécialement envie de rire. Néanmoins, Siofra, qui était infirmière et qui le soignait, lui a quand même soutiré quelques sourires et parfois même, quelques rires.

Le jeune homme se dirigea vers elle, et aussitôt qu'elle le vit, un sourire se dessina sur les lèvres de la demoiselle. « Hey toi ! Tu vas bien ? » dit-elle avec un enthousiasme qu'elle ne tentait pas de cacher. Romèo vit alors qu'elle tenait un livre entre ses mains. Il s'assit à ses côtés et lui répondit. « Salut Siofra. Oui, je vais bien et toi ? » Il jeta un bref coup d'œil au livre qu'elle lisait et enchaîna. « Je n'te dérange pas, au moins? »
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MessageSujet: Re: ROMEO&SIOFRA ♦ L'amitié double les joies et réduit de moitié les peines ♦   ROMEO&SIOFRA ♦ L'amitié double les joies et réduit de moitié les peines ♦ EmptyMer 31 Aoû - 12:49




ROMEO & SIOFRA


Après un réveil et une nouvelle « dispute » avec Caleb. Une matinée de travail où mes pensées furent posée ailleurs que sur mes histoires de couple. Où j'ai soignée des gens, que j'ai ris, souris avec eux. C'était aussi ce que je pouvais appréciée dans ce métier. Y avait un contact avec des gens, des gens qui l'a plupart son blessé, on mal, peut être peur même. Et toi ton boulot c'est de leur faire oublier tout ça et de l'est rassurer, de ce fait tu oublie toi-même tes problèmes. Certaine infirmière n'était pas comme ça, c'était plus je fais mon boulot, je te soigne et basta. Non je n'appelais pas ça du boulot car le côté humain était dans ce cas laissais de côté et je n'aimais pas ça. C'est pour ça que je passais peut être un peu plus de temps avec chaque patient mais au moins – je l'espérais – ils en ressortait mieux. C'est sûr aussi que je ne voyais pas que des belles choses. J'assistais malheureusement à des décès et c'était triste même très triste. Sensible comme j'étais, je me retenais toujours de verser des larmes. Mais dans ce métier il fallait être dur et solide et ne pas craquer et encore moins devant la famille. Alors je faisais face. Après ma matinée, jusqu'à midi passait dans l'hôpital. J'allais cherchée ma famille, je l'avais emmené manger un quelque chose dans un restaurant puis on était rentrée. On a jouais un peu ensemble. Je ne regrettais pas d'avoir eu ma fille si jeune. Je l'avais eu à vingt ans. J'avais laissée tomber mes études pour pouvoir l'élever. Avant de l'est reprendre plus tard. J'avais fait avec les moyens du bord pour l'élevais correctement. Puis cela avait été encore pire quand Caleb est partit en guerre alors que la petite n'avait que trois ans. J'avais dû trouver la nounou, pouvoir la payer en même temps que je faisais mes études d'infirmière. C'était quelques choses de compliquée, mais j'y avais survécus. Et ma fille – je pense – avait eu tout l'amour qu'elle méritais et qu'elle était heureuse. J'avais toujours voulue savoir ce que ça faisait d'être maman. Et je l'avais vue, et c'était une chose merveilleuse. C'était le plus beau de tout les cadeaux. C'était magnifique. Ma fille, ma bataille, mon ange. Je ne permettrais jamais qui lui arrive quoi que ce soit. Elle m'était trop précieuse. Nous avions un lien très très fusionnelle.

Je l'avais ensuite emmener en bas dans les jardins. Alors que j'étais assisse sur une chaise qui se trouvais dehors, livre en main, tandis que la petite jouée avec ses poupées sur l'herbe tranquillement. A vrai dire je ne lisais pas trop le livre, mes pensées étaient partit vers Caleb et notre situation actuelle. Je ne savais plus comment mettre un terme à tout ça. Lui faire comprendre que j'en avais marre. Que je voulais comprendre pourquoi il était comme ça. Pourquoi il avait autant changé. Pourquoi il était devenu comme ça. Je voulais savoir, comprendre, qu'il me parle, après tout on se connaissait depuis tellement d'année, je devais avoir seize-dix sept ans quand je suis arrivée ici à Paris, c'est lui qui m'a appris le français. Mais il se fermais et tout partait toujours dans des proportions grande. Je ne savais plus comment le prendre, comment lui parler. Je ne savais plus ce que je devais faire. J'en avais juste marre. Marre de tout ça. Et ce bébé qui arrivais aussi, est-ce que cela allait nous rapprocher ? Ou au contraire nous éloigné encore plus ? Je n'avais plus vraiment confiance en lui ! Je ne voulais plus lui laissais notre fille. J'avais peur qui lui arrive quoique ce soit à cause de lui. Le divorce ? J'y avais pensée mais je ne pouvais pas me le permettre ! Je ne voulais pas franchir ce pas ! Je l'aimais quand même Caleb. Il était mon premier et mon seul amour. Je me sortis toute ses pensées de ma tête. Ma fille jouais toujours elle était si belle. Une ombre se dessina sur moi. Je relevais la tête, Roméo. Un sourire se dessina sur mes lèvres. Je le saluais et lui demandais s'il allait bien sans cachée mon enthousiasme de le voir. J'étais assez expressive et je le montrais. Mon visage soudain lumineux. Le livre toujours en main. Il me dit en s'asseyant à mes côtés « Salut Siofra. Oui, je vais bien et toi ? ». Je lui offris un sourire et répondit « Contente que tu ailles bien ! Et bien ça va ça va merci ! ». Je le vis jetais un coup d'oeil à mon bouquin avant qu'il dise « Je n'te dérange pas, au moins? ». Je fis non de la tête un sourire toujours présent et je lui dis « Oh non tu ne me dérange pas ! A vrai dire je ne lisais même pas, je pensais, je réfléchissais, en surveillant ma fille ! ». D'ailleurs en parlant du loup, je l'a vis courir vers moi elle me tendis sa poupée et me dit « Maman j'ai cassé désolée ! Tu peux le réparer tu crois ? ». Je lui offris un beau sourire. Je pris le bras de la poupée, la poupée et je remis le bras de la poupée et je dis en lui tendant « Et voilà poupée soignée ! ». Elle me fis un bisou et en repartant jouer me dit « Merci maman ! ». Je souris elle était contente et c'était tout ce qui comptait à mon bonheur. Je me tournais vers Roméo et lui demandais « Qu'est-ce que tu me racontes de beau ? ».
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MessageSujet: Re: ROMEO&SIOFRA ♦ L'amitié double les joies et réduit de moitié les peines ♦   ROMEO&SIOFRA ♦ L'amitié double les joies et réduit de moitié les peines ♦ EmptyMer 31 Aoû - 23:43


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Tomber sur Siofra s'était bien la seule chose qui pouvait redonner un peu de couleur et d'énergie dans la journée grise et ennuyeuse de Romèo. Malgré tout, il ne s'attendait pas à la trouver ici, au jardin. Sa petite fille était d'une beauté incroyable, tellement mignonne. Même si Romèo n'était pas sensible aux allures angéliques et innocents des enfants, il devait bien avouer que souvent, ils étaient à croquer.

Siofra semblait bien heureuse de voir Romèo. En même temps, ça commençait à faire déjà plus d'une semaine qu'ils ne s'étaient pas vus. Et cela fit plaisir à Hadès, de voir qu'elle avait toujours le sourire. Ainsi, lui aussi l'avait. De toute façon, il était impossible de ne pas avoir le sourire en présence d'une femme comme celle-ci. Et en plus, de sa fille. Romèo 'a jamais été sensible au charme des enfants. Parfois, ces derniers réussissaient à lui décrocher un bref sourire, mais jamais plus. Alors était-ce parce que s'était la fille de Siofra? Car à chaque fois que le jeune blond la regarder, il devenait mou comme un chamallow. « Contente que tu ailles bien ! Et bien ça va ça va merci ! » Romèo sourit à nouveau et n'eut pas le temps répondre que Siofra enchaîna en répondant à sa deuxième phrase. « Oh non tu ne me dérange pas ! A vrai dire je ne lisais même pas, je pensais, je réfléchissais, en surveillant ma fille ! » Le regard du jeune homme se tourna alors vers la petite brune qui jouait avec une poupée barbie. « Tant mieux alors. Et à quoi pensais-tu? » Soudain, une voix de petite fille lui fit à nouveau tourner la tête. Lily-Rose se tenait face à sa mère, lui tendant sa poupée qui avait le bras détaché. « Maman j'ai cassé désolée ! Tu peux le réparer tu crois ? » Romèo les observa alors avec attention, assez intrigué par le fait qu'elles soient si proches. Il n'avait jamais connu ça, il fut donc plutôt surpris de voir ce que cela donnait d'être proche de sa mère. Quand elles eurent finies, que la poupée fut réparée, Hadès observa la demoiselle s'éloigner, les sourcils froncés et un air visiblement surpris sur le visage. « Qu'est-ce que tu me racontes de beau ? » Le jeune homme se ressaisit et reprit son sourire. « Oh rien de spécial. Juste, une journée ennuyeuse et merdique. Et toi? »
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MessageSujet: Re: ROMEO&SIOFRA ♦ L'amitié double les joies et réduit de moitié les peines ♦   ROMEO&SIOFRA ♦ L'amitié double les joies et réduit de moitié les peines ♦ EmptyJeu 1 Sep - 14:42




ROMEO & SIOFRA


Sourire, montrer que tout allait bien, alors que ce n'était pas forcément le cas. Je n'étais pas du genre à m'ouvrir au autre, je préférais les laisser eux s'ouvrir à moi. Je préférais être l'oreille qui écoute plutôt que celle qui parle. On m'avait toujours appris à écouter les autres. Car en écoutant les gens ont apprenait, on retenait. C'est temps-ci j'avais plus besoin de me ressourcer en rencontrant mes amis, en parlant avec eux, en rigolant avec eux plutôt que de rester cloitrer chez moi à me morfondre. Quoique je disais ça mais aujourd'hui alors que ma fille était là entrain de jouer avec ses poupées et moi censé lire, mes pensées étaient partit plus dans ce que je devais ou non faire par rapport à Caleb. A notre situation actuel. A nos disputes constante. Disputes dont j'avais l'impression de ne jamais voir la fin. Depuis plusieurs mois c'était comme ça. Au départ je passais que c'était juste une passe, un passage dans sa vie, que ça allait changer, que ça allait évoluer. Mais non ça n'a fait qu'empirer. Et maintenant j'ignorais comment je pouvais faire arrêter tout ça. Vous me dites le divorce peut être ! Mais je ne pouvais pas encore franchir ce pas, je ne sais pas si un jour j'y arriverais, je l'aimais Caleb, je l'aimais encore comme une folle, malgré tout ce qu'il me faisait voir ses derniers temps. Je ne devais pas trop non plus m'emporter, me stresser, m'énerver, pour ne pas perdre le bébé ou quoi que ce soit. Toute ses ondes n'était pas bonne pour le bébé que j'attendais. Mais apparemment monsieur Caleb s'en foutait royalement. Je n'avais même plus d'espoir.

Quand Roméo arriva, je l'accueillis comme il se devait. J'étais heureuse de le voir. Et je ne le cachais pas le moins du monde au contraire, je le montrais bien. Voilà a peu près une semaine que je ne l'avais pas vue, entre son boulot à lui et le mien. On avait pas forcément les mêmes horaires. Donc ça faisait réellement plaisir de le voir ici. J'étais donc souriante. Tout ce que je voulais c'était que les gens soit heureux. Et encore plus en ma présence. J'appréciais voir les gens sourire, rigolait. Être heureux. Être comme ils étaient. Et je souhaitais qu'ils soient comme ça avec moi. Et si jamais ils étaient triste ou autre, qu'ils retrouvent le sourire au moins pour une heure ou les heures ou les minutes qu'ils passeraient en ma compagnie. Je lui dis que j'allais bien et j'étais contente qu'il aille bien. Poursuivant sur le fait qu'il ne me dérangeais pas évidemment, que toute façon je ne lisais même pas, que je réfléchissais, pensais. Je vis son regard se posa sur ma fille et il me dit « Tant mieux alors. Et à quoi pensais-tu? » . Je n'eus pas le temps de lui répondre que Lily arriva pour que je lui répare sa poupée, dont le bras était détaché du reste du corps. Je lui remis le bras et lui redonnais la poupée. J'étais très proche de ma fille et c'est ce que j'avais toujours voulue. Quand mon regard se reporta sur Hadés il avait un air surpris sur le visage ce qui me fit sourire. Je dis alors « Désolée, sa poupée se casse souvent, du coup je joue l'infirmière de poupée ! Donc pour te répondre tout a l'heure je pensais à beaucoup de chose qui tourne dans ma tête ! ». Je laissais un petit blanc de trente seconde avant de poursuivre. En lui demandant ce qu'il racontait de beau. Il se ressaisit de son air surpris et afficha un sourire que je lui rendis. Et il me répondit « Oh rien de spécial. Juste, une journée ennuyeuse et merdique. Et toi? » . Je lâchais un petit rire avant de dire « Autant que ça ? Et bien pour moi pas grand chose une matinée assez dur au travail mais ça allait et une après-midi à l'air libre ! ». Un grand sourire s'afficha sur mes lèvres.
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