ROMEO & SOFYA ϟ " Toujours partir avant le petit-déjeuner, et surtout, ne jamais tomber amoureux "

Romeo & Sofya

L’avantage de vivre dans une résidence est considérable. Tout d’abord, le cadre est sympathique, propre et bien entretenue. Ensuite, on ce sent en sécurité. Oui vraiment, des grilles électriques, un coin protéger, a l’abri des regards. Ici les enfants peuvent jouer en toute sécurité. Mais l’avantage que Sofya apprécie le plus, c’est l’approche de ses voisins… Jamais elle n’aurait penser apprécié autant d’avoir des voisins. Il faut dire que la population des résidences était plutôt jeune, et plutôt attirante… Romeo-Hades Ambroise… La première fois qu’elle la vu, elle la insulté de con. Faut dire qu’il l’avait bien mérité. Romeo et Sofya, tout a commencé dans le bus. Quatre heures et demie, heure de pointe, un vendredi soir. Tout ses « banlieusard » pressé de partir en week end dans leurs maisons de campagne. Et dans le lot de cadres et de secrétaires, Sofya, la petite russe un peu perdue. Le bus freine, et un énorme pied viens écrasé le siens. En temps normal la jeune femme ne se serait pas énervé. Après tout il n’y était pour rien. Mais ce jour la, elle était plutôt de mauvaise humeur et c’est dans un grand «  Tu peux pas faire attention pauvre c*n » qu’il se sont « abordé ». Le reste de l’histoire est bien simple, il se sont re-rencontrer avant de s’apercevoir qu’il vivait dans la même résidence.

Ce jour la, Sofya était seule chez elle. Enfin, chez Amaury. Celui-ci était au boulot et la jeune russe s’ennuyait ferme. Elle ne travaillé pas ce jour la et n’avait aucune envie de sortir. Il faut dire que le temps parisien ne s’y prêtais pas non plus… De la pluie, du ciel gris, et du vent, tout pour ravir le peuple parisien. Alors qu’elle zappé encore et encore et encore, elle eut l’idée du siècle. Rendre visite a son bon ami Romeo. En espérant qu’il soit chez lui. La jeune femme enfila une petite robe blanche, des escarpins et attrapa au passage une bonne bouteille de vin blanc. Elle quitta l’appartement, descendit les quelques marches et traversa la cour pour arriver jusqu’à l’autre bâtiment. Ce parcours, elle l’avait fait déjà un bon nombre de fois, et toujours pour la même raison.
Arrivé devant sa porte, elle frappa puis attendit que celle-ci s’ouvrit. Le jeune homme apparut quelque seconde plus tard, derrière l’embrassement de la porte. Un grand sourire sur ses lèvres, la jeune femme lui tendit la bouteille, puis tout en rentrant dans le petit appartement, elle lui dit : «  J’espère que t’es en forme ! Parce que moi je le suis ». Un sourire aguicheur au coin des lèvres, elle retira ses escarpins avant de s’assoir sur le petit sofa. Sans gène ? Si peu. Mais Sofya était ainsi, c’était sa nature et généralement, les gens l’apprécié ainsi. Et puis Roméo en avait l’habitude, il savait que si Sofya venait chez lui ce jour la, c’était pour une seule raison…

do you wanna touch me there?.

I'm on the highwaaaaay to hell! Don't stop me. Tous partis. ous quelque chose à faire. Et ce pauvre Romèo, seul. Tout seul, qui devrait se faire complètement chier, se morfondre dans son coin à attendre que tout ses colocataires rentrent. Mais non! Au lieu de ça, c'est sur la chanson Highway to hell, d'ACDC, qu'il va prendre une bière dans le réfrigérateur et saute sur le canapé. Son portable attira son attention, vibrant bruyamment sur la table basse face à lui. Il le prit. Sœur CasseCouille. « Quoi? ... Oué j'oublierai pas ... J'peux encore prendre soin d'un appartement seul ... Va t'faire voir ... T'as sucé un clown sœurette? ... Oué, à ce soir. » Après avoir raccroché, il souffla et observa l'état de l'appartement. Des vêtements par terre, des papiers partout. Oui, vivre à 4 n'était pas - question ménage -, quelque chose de facile. Romèo venait tout juste de s'en rendre compte. Et puis, les Biancardi's n'avaient pas emménagés depuis bien longtemps avec eux.

C'est donc sur une nouvelle chanson, Beat it, de Micheal Jackson, que Romèo se mit à attraper tous les fringues se trouvant sur le sol, et à les mettre dans le panier à linge. Il dut enlever son tee-shirt, aillant bien trop chaud et se retrouva torse nu, à faire le ménage. Qui ne rêve pas d'avoir un homme torse nu, musclé, entrain de faire le ménage? Toutes les femmes en rêvent. Sauf que là, personne n'était là pour en profiter. Surtout qu'Hadès ne faisait pas tout le temps ce genre de chose. Soudain, Romèo entendit frapper à la porte. Surpris, il sursauta et jeta à la poubelle les derniers papiers inutiles - enfin, en espérant - et couru à la porte. Il ouvrit, et apparu sur le seuil la jeune et belle Sofya. Intéressant. Lorsqu'il la vit, un sourire en coin se dessina sur ses lèvres. Elle lui tendit une bouteille de vin blanc que Romèo prit. « J’espère que t’es en forme ! Parce que moi je le suis » La demoiselle entra, retira ses escarpins et s'assit sur le sofa. Resté devant la porte, Romèo haussa les sourcils, ferma cette dernière et alla derrière le bar de la cuisine afin de trouver deux verres propres. « T'aurais pu prévenir, j'aurais enfilé un tee-shirt... » dit-il avec un sourire amusé et malicieux. Il ouvrit la bouteille et remplit les deux verres de vin blanc. Sofya connaissait bien ses gouts, à force.

Hadès alla s'asseoir à ses côtés, emportant avec lui les deux verres. Il tendit le premier à la brunette et garda le deuxième pour lui. Ses yeux se baladèrent un instant sur l'apparence et la tenue de Sofya. « Ravissante. Ça change de d'habitude. » Pic. Avant ou après, s'était leur quotidien. Et s'était une relation qu'appréciait beaucoup Hadès. Pas de sentiments, que du sexe et en plus, un certain jeu.