SIOFRA&TEDDY ☇ haribos c'est bon la vie pour les grands et les petits

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SIOFRA&TEDDY ☇ haribos c'est bon la vie pour les grands et les petits Tumblr_lq31ynpagR1qig7wyo4_250

Comme d’habitude tu étais fantastique Teddy. Je levais les yeux vers le patron de la radio, un sourire apparu sur mes lèvres. Cela faisait déjà trois ans que je travaillais dans la radio, oui les études ce n’étaient pas ma tasse de thé. Je ne m’amusais pas dans ce que je faisais, mes parents m’avaient toujours vu médecin ou avocate un métier prestigieux. Or je n’étais pas comme ça à suivre les règles, je préférais les inventées moi-même. C’était bien plus intéressant et je ne me sentais pas oppresser, je n’étais dans une cage dorée. Alors animatrice de radio c’est imposé seul dans mon esprit, les contraintes étaient diminuées et je m’amusais comme une gamine. J’avais ce petit plus mon côté américain qui me rendait surement bien plus délurée. Noah, le patron partit voir d’autre de mes collègues. Je rangeais mes affaires dans mon sac, écoutant d’une oreille distraite les rumeurs que les autres parlaient. C’était comme si nous étions ce genre de magazine qui lançait les rumeurs à tord et à travers. La radio n’était pas qu’un lieu où la musique rythmait le quotidien des centaines de personnes, non la plupart était aussi pour la rubrique people. Je n’ai jamais compris pourquoi tout le monde aimait tellement les rumeurs. Surtout sur les personnalités à croire qu’ils cherchent un moyen de rendre leur vie moins banale, je ne sais pas. Dis Teddy tu pourrais me remplacer demain ? Je regardai mon collègue Manoé, qui avait toujours eu la fâcheuse habitude de troquer ses heures de travail. Sérieusement Mano ?! C’était bien la troisième semaine où il me demandait de le remplacer. J’avais accepté par gentillesse mais là, il poussait le bouchon trop loin. Je plaçai ma main sur son épaule avec un sourire compatissant, en vérité qui voulait dire ne me prends pas pour une cruche. Je pris mon sac et saluai mes collègues. Je venais d’arriver à la résidence des tuileries, à cette heure ci la plupart déjà partait au travail, ou profiter de leur journée en dehors de la résidence. J’allais être surement être seule dans l’appartement, Auxence avait prévu de s’acheter des fournitures de dernières minutes pour ses études. Toujours aussi tête en l’air celui-là. N’ayant pas grand-chose de prévu, je décidai de me rendre à la résidence Zola, pour rendre une petite visite à Siofra. Je gardai sa fille, Lily-Rose de temps en temps j’adorais cette gamine. Elle me rappelait mon enfance lorsque j’étais insouciante et loin des problèmes. Je garai ma voiture sur le parking et me rendis au troisième étage. En plus j’avais promis à la petite un paquet d’haribo. Bien évidemment je ne lui autorisais qu’une petite quantité. Une fois arrivée à destination je sonnai à la porte, attendant patiemment que quelqu’un m’ouvre la porte. Je dois bien avouer que je devais être un peu ridicule avec le paquet de sucrerie dans la main.

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TEDDY & SIOFRA

Ce matin je ne fus pas réveiller par les rayons du soleil qui perçait les volets, pas non plus par le bruit du réveil avec cette sonnerie qui nous donnée envie de le jeter par la fenêtre. Non ce matin ce fut une petite fille qui sauta dans la lit comme les petites filles le ferait. Un sourire se dessina sur mes lèvres, elle criait maman maman faut se réveiller. Je me levais soudain, je l'attrapais et tout avec douceur et tendresse, je l'allongeais sur le lit et lui fit plein de chatouille. Ses rires enfantins emplirent le silence de l'appartement. Mon rire se joignant au sien. J'appréciais c'est moment passé avec elle. C'était tellement beau et bon d'avoir ce lien avec son enfant. Je sais qu'avec ma fille c'est très très fusionnelle, peut être un peu trop. Oui certaine personne disent que je suis trop proche de ma fille et que cela n'était pas bon pour la suite de sa vie. Mais je n'écoutais pas vraiment. J'avais ce lien avec ma fille et j'en étais contente. J'étais protectrice mais je lui laissais des libertés. Elle me demanda « Maman cette après-midi je peux allée chez tonton s'il te plaît ? ». Son tonton, elle l'aimait son tonton. Il tenait un ranch un peu plus loin, où il élevait des chevaux et proposais aussi des ballades à cheval. Ça marchait très bien et il était content de ça. Et à côté de ça il avait un appartement dans les résidences pour être proche de nous. J'attrapais mon téléphone et lui tendis « Je sais pas mon ange demande lui ! ». Alors qu'elle appelais son oncle. Je l'a laissais. Et allait faire le petit déjeuné. Elle revint quelques minutes plus tard, alors que son bol de céréale était prêt. Elle me tendis le téléphone en me disant que tonton voulait me parler. Bien. Je pris le téléphone et je discutais une bonne demi-heure avec lui. Il avait toujours été là pour moi. C'était mon grand frère il avait quatre ans de plus que moi. Et c'était toujours un amour. C'était une homme d'une grande sagesse et toujours plein de bon conseil. Et il était courageux, il nous avait un élevé mon frère jumeau et moi. Oui parce que j'avais aussi un frère jumeau qui lui était repartit au Texas. Je finis par raccrocher et je me mis à m'occuper de ma fille. Son tonton avait dit que demain elle pourrait venir, aujourd'hui il avait des rendez-vous important donc il ne pourrait pas s'occuper d'elle. Mais il lui promit que demain c'était ok. Donc elle passerais la journée avec lui demain.

Le temps passa. Lily-Rose tranquillement entrain de jouer dans sa chambre. Tandis que je rangeais la maison. Car c'est temps-ci j'avais quelques peu laissais la maison dans un état pitoyable. Disons que j'avais aussi était assez fatiguée. Caleb me faisait réfléchir et pensée sans cesse. Je me demandais à chaque instant où il était, ce qu'il faisait, pourquoi il était devenu comme ça surtout le soir. J'avais si peur qu'un soir il ne rentre pas. J'avais beau le détester en ce moment pour tout ce qu'il faisait, c'était mon premier amour et mon unique amour, je ne pouvais pas ne plus l'aimer et le haïr comme ça du jours au lendemain. Je ne savais plus quoi faire avec lui. Et puis j'attendais un deuxième enfants. Et si pour ma douce Lily cela avait été nickel sans nausée presque et bien pour celle-là de grossesse c'était bien tout le contraire. Du coup je me levais souvent la nuit. C'est pour ça que cette matinée de sommeille me fit du bien. J'étais en train de ranger toute la maison quand on sonna à la porte. Je me demandais qui cela pouvait bien être. Je posais ce que j'avais dans les mains. Et remis une de mes mèches de cheveux et allait ouvrir la porte. J'eus la belle surprise de découvrir Teddy. Un grand sourire se dessina sur mes lèvres. Alors que je lui disais « Hey salut ma belle ! Entre je t'en pris ! ». Je remarquais son paquet de bonbon dans les mains et je poursuivit en fermant la porte derrière elle « Je vois que tu n'es pas venue seule ! ». Parfois je m'essayais à être comique mais souvent ça ne faisait rire que moi ou ma fille mais comme elle disait c'est juste pour pas te faire de peine maman. Soudain comme une petite furie Lily arriva et se jeta dans les bras de Teddy. Elle l'appréciais sa baby-sitter. Un sourire encore plus grand fit place sur mon visage.

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Ayant quitté un peu plus tôt le travail, j’avais décidé de rentrer chez moi. Mais au dernier moment j’avais décidé de me rendre chez la famille Sullivan. Je gardai de temps à autre la petite Lily-Rose, et je dois bien l’avouer que je m’étais attachée à cette petite. Tellement qu’il m’arrivait de parler d’elle à Auxence, qui devait en avoir ras-le-bol que je parle d’elle. Mais je ne venais pas que voir la petite mais aussi Siofra, avec qui j’avais sympathisée. J’avais appris à la connaitre avec le temps et je dois dire que je l’appréciais de plus en plus. Je n’aurais jamais cru me rapprocher si vite d’une personne qui était différente de moi. Il y avait quelque chose qui me touchait chez elle, peut être le fait de savoir que Siofra ne s’entendait plus vraiment avec son mari. Ce que je trouvais d’ailleurs dommage, je n’avais croisé que ce dernier, Caleb que quelques fois. Ma première impression fut qu’il devait être gentil, jusqu’au jour j’avais assisté malgré moi à une dispute entre lui et Siofra. Elle l’aimait encore je le voyais dans ses yeux. J’avais essayé de l’aider mais n’étant pas marié et n’ayant que vingt-trois ans, je n’avais pas autant vécu qu’elle. Par rapport à elle j’avais encore la mentalité d’une gamine. Mais avec mon expérience faible je l’aidais à ma manière. Bref, je m’éloignais un peu de la raison de ma visite. Je tenais toujours ce paquet de sucrerie lorsque la porte s’ouvra, un sourire apparu sur mes lèvres lorsque je vis Siofra m’ouvrir. Salut ! Hey salut ma belle ! Entre je t'en pris ! Je fis quelques pas dans l’appartement avant d’agiter le paquet d’haribo sous les yeux de la jeune mère. Qui avait du remarquer bien avant que je ne l’agite. Je vois que tu n'es pas venue seule ! Un petit rire s’échappa entre mes dents blanches, mes soupçons étaient à présent confirmer. Un son allait sortir de ma bouche quand celui d’une petite fille se fit entendre. La petite Lily-Rose s’était jetée dans mes bras, heureusement que j’avais quelques réflexes. Je pense que j’aurai servi d’amortisseur pour la petite Sullivan. J’en connais une qui a abusé des bonbons pendant mon absence. Bien évidemment je rigolais, Lily était aussi légère qu’une plume. Je finis par reposer la petite sur le plancher des vaches, lui montrant le paquet de friandise que je lui avais promis. Comme promis voila ton paquet, et souviens toi de ce que je te dis… Attention aux caries. Un rire éclata dans la pièce, tandis que Lily-Rose s’en allait avec son paquet. Je reposai mon attention sur Siofra. Je suis désolée de te débarquer comme ça, je ne dérange pas ?

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TEDDY & SIOFRA

Je me rappel tout a fait de la relation que j'avais avec ma maman. Une complicité, une confiance total. Elle avait été ma meilleure amie, ma maman, ma confidente, elle avait été tout pour moi. Je me rappel encore du temps qu'on passée ensemble à se raconter plein de chose. C'était une femme plein de courage et très forte, elle avait élevé trois enfants et tenu debout un ranch entier. Et plein de sagesse, elle avait toujours de bon conseil et elle était remplie de douceur. La vie était parfois injuste et nous enlevé les gens qui comptait le plus. Quant a mon papa je ne sais pas je ne l'avais pas connu, il est était décédé d'un accident peu de temps après ma naissance à Toby et moi. Quand j'avais appris que j'étais enceinte et que c'était une fille. Ma joie a été infinie. Et j'avais espérée qu'avec ma fille j'ai cette complicité, la même que j'avais avec ma maman à moi. Et a cette époque je ne savais pas encore ce que ça faisait d'avoir un enfant. Et je l'avais découvert et c'était une joie sans mot. Une joie dont on ne pouvait pas décrire. Un bonheur, de voir notre enfant grandir. Faire ses premiers pas, dires ses premiers mots. Et j'espérais qu'avec mon deuxième enfants je retrouve cette même complicité que j'avais avec ma Lily-Rose. Je profitais de chaque minutes, de chaque instant passé avec elle. Je profitais de mes jours de repos. Par contre quand je travaillais j'avais mes baby-sitter attitré que ma Lily adorait et en qui j'avais confiance. Aurélie & Teddy. Quand une ne pouvait pas je demandais à l'autre et vice versa. En cette journée j'eus l'agréable visite de Teddy.

Lily l'adorait et adorait quand elle l'a gardait. Et je devais bien dire que je l'appréciais la belle Teddy. J'appréciais ce qu'elle était. C'était une des seules à être au courant que mon couple battait de l'aile. Que ça n'allait plus. Oui j'essayais de garder ça discret. Elle avait assisté malgré elle à une de nos disputes. Du coup je lui avait tout expliquée. Elle avait essayée de m'aider et je lui en était plus que reconnaissante et ça m'avait touché. Sauf qu'il n'y avait rien à faire, j'étais juste en train de le perdre peu à peu. Et impuissante j'assistais à ce désastre. Je ne le comprenais plus, je ne le suivait plus. Et j'étais juste face à ça, impuissante. Et nos disputes n'arrangeais rien. Ce qui m'empêchais de le quitter ? Surement les enfants où l'amour qui j'éprouve encore pour lui. Je remarquais le paquet de bonbon que Teddy agitait à présent. Sur un air plaisantin je dis qu'elle n'était pas venue toute seule. Elle allait dire quelque chose, quand ma douce fille se jeta dans ses bras. La délicatesse simple et pur de ma fille en clair. Heureuse que Teddy avais des réflexes et un équilibre assez bon. Sinon elle se serait retrouvée par terre avec la petite sur elle. Je lâchais un petit rire. Je savais que Lily adorais vraiment Teddy. Il lui arrivais parfois de me demandais quand est-ce que Teddy la garderais ou encore parfois elle demandais si elle pouvait passée l'après-midi chez elle. Le jeune fille lui dit J’en connais une qui a abusé des bonbons pendant mon absence . Je laissais échappé un nouveau petit rire. Ça me faisait de voir ça. Elle reposa la petite par terre et lui montra le paquet de bonbon, là c'était comme montrer un bout de viande à un lion. Teddy lui dit Comme promis voila ton paquet, et souviens toi de ce que je te dis… Attention aux caries. . Un grand sourire se dessina sur mes lèvres. Un rire se fit entendre dans la pièce. De quoi combler mon bonheur. La petite ne se fit pas prier et partit avec le paquet de bonbon. Teddy me demanda finalement Je suis désolée de te débarquer comme ça, je ne dérange pas ? . Je fis non de la tête et lui répondit en souriant « Mais non ma belle ne t'inquiète pas tu ne me dérange ! C'est gentil pour le paquet de bonbon pour la petite merci ! ». Je l'invitais à s'avancer un peu plus dans l'appartement. Je contournais le comptoir de la cuisine. Et je lui dis « Sinon tu vas bien ma belle ? Tu veux boire ou manger quelques choses ? J'ai un peu de tout ! J'ai fais les courses hier ! Et assis toi, fais comme chez toi ! ». Chez moi les gens n'avais pas à se gêné et il pouvait faire comme chez eux.

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Une fois que la petite Lily-Rose eu le paquet d’haribo en main, elle s’était en quelques sorte volatilisée dans le salon. Arrachant ainsi par la même occasion un sourire sur mes lèvres. Je reportai mon attention sur Siofra, qui elle aussi souriait en voyant sa fille. J’aimais la relation qu’elle avait avec sa fille, dans mes souvenirs je n’ai jamais été proche de ma mère et encore moi de mon père. A mes yeux ils n’étaient que mes géniteurs, ils m’avaient élevé avec une bonne éducation sans plus. Dans la famille Fitzgerald j’avais l’impression que la notion amour s’était perdue à ma naissance. Mais dans tout cela j’avais ma sœur qui était là, nous étions fusionnelles je la considérais un peu comme une mère. J’enviais presque la relation mère/fille de Siofra et Lily-Rose. Mais non ma belle ne t'inquiète pas tu ne me dérange ! C'est gentil pour le paquet de bonbon pour la petite merci ! Siofra m’invita à m’installer plus confortablement, je ne me fis pas prier. A moins que je voulais me montrer effrontée envers elle. Enfin est-ce que rester debout voulait vraiment signifier ceci je l’ignore. Je crois que j’ai une imagination un peu trop débordante, ou complètement tordue ce qui n’est pas impossible. Une fois installée je me mis en tête de lui répondre. De rien pour le paquet, ça me fait plaisir de lui offrir. La jeune mère se retrouva de l’autre côté du comptoir, Siofra a toujours été une personne très gentil. Depuis que je la connais je ne l’ai jamais vu méchante enfin sauf avec son mari. Quoi qu’elle n’était pas si méchante que ça, juste une femme qui cherchait des réponses. Sinon tu vas bien ma belle ? Tu veux boire ou manger quelques choses ? J'ai un peu de tout ! J'ai fais les courses hier ! Et assis toi, fais comme chez toi ! Si je l’écoutais vraiment je serai déjà affalé dans son canapé, mais j’avais quand même un minimum de savoir vivre. On me prendrait encore pour une adolescente rebelle de quinze ans à force. Mais je m’éloignais un peu là. Je vais bien comme d’habitude. Et toi ? Tu as l’air un peu fatiguée. Gérer son emploi du temps était tout un art, moi je n’avais pas eu ce don. J’étais du genre désordonnée et à oublier la moitié des choses, et me souvenir bien trop tard de ce que je devais faire. Ne me donnais pas de liste je risquerai de la perdre, avec le temps Auxence avait réussi s’y accommoder et ne se gênait pas pour s’en moquer. Par contre je voudrais bien manger quelque chose. Je n’ai pas mangé depuis hier soir. Je lui offris mon plus beau sourire pour ne pas paraitre trop envahissante.

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TEDDY & SIOFRA

Comment combler ma fille ? Lui offrir un paquet d'Haribo ! C'était bien la fille de sa mère elle. Paquet de bonbon en main et déjà partit dans le salon pour en manger. Alalala les enfants je vous jures. Néanmoins ce tableau me fit sourire. En fait rien que de voir ma fille comme ça contente, heureuse me rendait souriante et heureuse aussi. J'avais un lien spécial avec ma fille. Très complice et protectrice, maternelle. Tout les enfants mériteraient d'avoir ce lien avec leur maman ou leurs parents. Un enfant ne devrait pas être délaissé par ses deux parents. Je ne supportais pas ce que Caleb était entrain de faire à sa fille, de l'abandonner peu à peu. Je ne supportais pas de l'a voir regarder son papa sans que ce dernier ose lui accorder le moindre sourire. C'était une image qui m'était insupportable à voir. Du coup je lui donnais encore plus d'amour que nécessaire. Personne n'a le droit de faire ça à son enfant, de le laisser de côté. Ce n'est qu'un être innocent qui mérite mieux que ça. Enfin bref. Je remercie quand même la belle Teddy pour le paquet de bonbon c'était tout de même la moindre des choses à faire. Je me dirigeais vers la cuisine, invitant ainsi en même temps à Teddy de s'installer, se mettre à l'aise confortablement. Chez moi fallait pas se gêné. On était les bienvenues et on faisait comme chez sois. Je n'étais pas très contente quand on était gêné ou timide. Ma maison et votre maison tant que je vous fais confiance. Et je faisais une entière confiance en la belle Teddy. D'ailleurs elle me répondit De rien pour le paquet, ça me fait plaisir de lui offrir . Un grand sourire reconnaissant et voulant ainsi aussi dire merci une nouvelle fois se dessina sur mes lèvres et s'adressa directement à la belle. Qui était maintenant installais ce qui me fit plaisir. Je contournais le comptoir. En lui demandant si elle allait bien, si elle voulait manger ou boire quelque chose. Elle me dit Je vais bien comme d’habitude. Et toi ? Tu as l’air un peu fatiguée . J'étais contente qu'elle aille bien. Un sourire se peignit une nouvelle fois sur mes lèvres. Fatiguée c'était certain que je l'étais. Mais je faisais avec. J'étais une résistante et je tenais le coup. Je haussais les épaules et lui répondis « Contente que tu ailles bien la belle ! Et bien moi ça peut aller merci ! Je suis assez fatiguée entre Caleb, la maison, le bébé, Lily même si elle est pas compliquée à vivre, et le boulot j'ai peu de temps pour me reposer ! Mais on fait avec ! ». Je lui avais aussi proposer à boire ou a manger. J'avais fais les courses hier, du coup le frigidaire, les placards et le congélateur était plein. Vraiment plein. Elle me dit Par contre je voudrais bien manger quelque chose. Je n’ai pas mangé depuis hier soir. . Elle m'offris un de ses plus beaux sourire. Et je lui rendis avant de faire une moue très maternelle, telle une maman qui réprimande son enfant. Je l'a pointais du doigt et l'agitais en disant « Et tu n'as pas eu le temps de manger un petit quelques choses à ton boulot ? Ils offrent même pas des croissants ou quoi ? Il faut manger tu sais surtout le matin au réveil, pour être en pleine forme toute la journée ! Alalala sucré ou salé ? Je vais te préparer un bon petit quelque chose ! ». Et voilà que je jouais la maman même avec elle. D'un côté elle était beaucoup plus jeune que moi. A son âge j'avais à charge une petite Lily de trois, des études et un Caleb absent parce que partit en guerre. Et pour le moment il était hors de question que je lui balance juste une boite de gâteau ou un truc salé. J'allais lui préparais ce qu'elle voulait.

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Contente que tu ailles bien la belle ! Et bien moi ça peut aller merci ! Je suis assez fatiguée entre Caleb, la maison, le bébé, Lily même si elle est pas compliquée à vivre, et le boulot j'ai peu de temps pour me reposer ! Mais on fait avec ! J’ignorais comment elle faisait pour tenir le coup, pour ma part je pense que je serai comme ces femmes qui auraient des cernes violacées et les cheveux en pagaille. Où la mode serait de porte de vieux jogging informe. Les enfants me surnommeraient ma vieille du troisième alors que je suis encore jeune. Siofra était un modèle à mes yeux, gérer avec autant de courage sa vie un peu tourmentée avec une telle intensité. J’aurai aimé l’aider pour qu’elle est un temps pour elle. Je n’aimais pas vraiment rester impuissante devant des situations aussi faciles. Tu devrais appeler à la radio, je suis sure que tu pourras avoir un week end de détente. Je garderai Lily. Elle avait toute ces chances de gagner après tout, elle le méritait bien un week end loin de ces tracas quotidien. Dire que je me plaignais assez souvent de mon emploi du temps. Siofra avait bien plus besoin que moi de repos. Elle était comme Lynette, la maman wonderwoman qui ne se laisse jamais abattre. C’était tout en son honneur d’ailleurs, je me demandais comment elle faisait pour relâcher la pression ? Mon ventre fit quelques gargouillis je n’avais rien avalé de comestible depuis hier soir. J’avais du enchainer deux postes ce matin, surtout en grande partie à cause de mes collègues. Oui les vacances, je servais de bouche trou en quelque sorte. Ca ne me dérangeais pas plus que ça mais ne rien mangé pour moi c’était comme du foot sans ballon. Je devenais irritable à force, ce n’était pas beau à voir. La proposition de la jeune maman tombait à pic. Et tu n'as pas eu le temps de manger un petit quelques choses à ton boulot ? Ils offrent même pas des croissants ou quoi ? Il faut manger tu sais surtout le matin au réveil, pour être en pleine forme toute la journée ! Alalala sucré ou salé ? Je vais te préparer un bon petit quelque chose ! Un léger rire s’échappa entre mes lèvres, pensant sur le coup que Siofra plaisantait. Mais non, elle était vraiment sérieuse. Si, il y a des croissants mais à chaque fois j’arrive quand l’assiette est vide. Ces hommes et leur estomac, ils avaient toujours les yeux plus gros que le ventre. Mais généralement je ne m’occupais pas des matinales, donc je prenais le petit déjeuner chez moi en compagnie d’Auxence. Tu sais, tu n’es pas obligée de te donner tant de mal. Même une boite de cookie ferra l’affaire. J’ai l’impression d’être une gamine du coup. Je ne voulais pas la déranger déjà que je m’étais invitée à la dernière minute. La moindre des choses c’était de ne pas m’imposer quand même.